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Etude prospective emploi-formation en région Bretagne

Dans le cadre d’un l’appel à projets lancé par la Direccte et la Région Bretagne, l’Afdas a souhaité mener une étude prospective sur l’ensemble des secteurs qui constituent son périmètre afin d’améliorer la connaissance des emplois, des métiers et des besoins en compétences et en qualifications pour les entreprises, leurs salariés et l’ensemble des populations gérées par l’Afdas dont les artistes-auteurs. Ce périmètre d’étude représente près de 27 000 salariés et 3 000 établissements (source : INSEE, DADS, 2016, traitement KYU Lab).

L’objectif de ces travaux était de présenter le tissu économique breton, identifier les perspectives d’évolution de chacun des secteurs, identifier les compétences et métiers en développement, mutation, et en tension ainsi que leurs passerelles potentielles, et de préconiser au regard de l’analyse de l’offre de formation régionale, les principales orientations à envisager pour l’avenir.

Pour cela, une analyse documentaire large ainsi qu’une étude des données statistiques existantes ont été réalisées. Des entretiens se sont également tenus avec les entreprises des différents secteurs et 3 enquêtes en ligne ont été lancées (2 auprès des entreprises et une auprès des professionnels des secteurs).

Toutes ces actions ont permis de faire ressortir la problématique majeure de la formation et de la gestion des compétences au sein des entreprises. En effet, une majorité des entreprises interrogées considère l’offre de formation inadaptée à leurs besoins ou insuffisante. A cela, s’ajoutent deux principaux freins au recours à la formation : le coût jugé trop élevé et le manque de disponibilité des salariés. Concernant l’alternance, le recours à ce type de formation est globalement limité en Bretagne, du fait de la non-adaptation des rythmes de l’alternance et de l’entreprise, ou encore une fois, du coût élevé de la formation.

Dans l’ensemble, les professionnels des secteurs du périmètre, connaissent mal l’offre de formation et ne la juge que partiellement satisfaisante (problématique géographique, contenus inadaptés…). En termes de souhaits de formation, ils privilégient largement les formations techniques, d’approfondissement sur leur cœur de métier (techniques spécifiques, logiciels de montage, de dessin 3D). Viennent ensuite les formations de management de projet et de management d’équipe. Sont également citées la formation sur la gestion de sa carrière, pour mieux appréhender la gestion de l’activité à court et moyen terme, et les formations de formateur dans une perspective de complétion d’activité voire de réorientation.

Pour en savoir plus sur les résultats de cette étude et découvrir les propositions d’actions opérationnelles, nous vous invitons à approfondir en téléchargeant le rapport global ou la synthèse.

Tableaux de bord annuels sur l’emploi et la formation dans le spectacle vivant

Liste des portraits statistiques :

  • L'offre de formations certifiantes préparant aux métiers du spectacle vivant -diplômes, titres et CQP- données 2021
  • Entrepreneurs de spectacles vivants : déclarations d’activité valant licence de producteur, diffuseur ou entrepreneur de tournées, et exploitant de lieu de spectacles - 1er trimestre 2021
  • Entrepreneurs de spectacles vivants : déclarations d’activité valant licence de producteur, diffuseur ou entrepreneur de tournées, et exploitant de lieu de spectacles - données 2020
  • Les micro-entrepreneurs des arts, spectacles et autres activités récréatives - données 2019
  • Les femmes et les hommes dans le spectacle vivant - données 2017

En savoir plus

    Répertoire des formations professionnelles certifiantes et qualifiantes préparant aux métiers du spectacle vivant

    Outil d'information et d'orientation, ce répertoire récence les formations certifiantes (diplômes, titres professionnels, CQP, certificats…) préparant aux métiers ou aux compétences du spectacle vivant, et qui sont enregistrées au RNCP * et au RS * de France compétences.
    L’interface permet des recherches ciblées, notamment par domaines ou par régions, accompagnée de cartographies.
    Un état des lieux de l’offre de formations certifiantes est également proposé sous forme de chiffres clés.
    Ce répertoire est réalisé par la CPNEF-SV, dans le cadre de l’Observatoire des métiers, qui met à jour régulièrement son contenu.

    * RNCP : répertoire national des certifications professionnelles
    * RS : répertoire spécifique de France compétences

    Lien

     

     

    Guide des métiers du spectacle vivant

    Ce guide présente les principaux métiers artistiques, techniques et administratifs du spectacle vivant. Disponible en ligne, il décrit chacun d’eux sous forme de fiches : missions, activités, compétences,  responsabilités, parcours et évolutions possibles. Des portraits de professionnels et des vidéos sont parfois disponibles.
    Le guide répond à plusieurs objectifs : construire une vision commune des professions, améliorer la reconnaissance des métiers, organiser la co-activité et anticiper l’avenir.

    Conçu comme une boîte à outils, il s’adapte en fonction des usages, pour l’orientation, la professionnalisation, les ressources humaines et la prospective sectorielle. Il apporte des réponses sur mesure aux différents publics :

    • Aux employeurs et aux DRH pour identifier les besoins en ressources humaines et créer leurs propres outils RH ;
    • Aux professionnels pour faire le point sur leurs compétences, préparer une évolution ou une reconversion… ;
    • Aux jeunes et acteurs de l’orientation, pour repérer les métiers, identifier les débouchés, choisir une formation… ;
    • Aux organisations professionnelles, pouvoirs publics, organismes de formation pour identifier les évolutions des métiers, adapter les formations, sécuriser les parcours.

    Composé en trois parties, le guide est téléchargeable sur le site de la CPNEF-SV :

    Ce guide a été réalisé par la CPNEF- SV et l’Afdas dans le cadre de l’Observatoire des métiers du spectacle vivant.

     

    Covid 19 : le secteur de la publicité bouleversé

    Quel est l’impact de la crise liées à la Covid-19 sur les entreprises et les salariés de la Publicité ?  

    Réalisée entre novembre 2020 et janvier 2021, dans le cadre du plan d’investissement dans les compétences (PIC) pour la période 2018/2022, co-financée par le ministère du Travail et l’Afdas, l’étude présente les résultats du diagnostic-action pour la branche de la publicité.

    Voici les 4 enseignements à tirer de ce diagnostic-action.

    1. DES INVESTISSEMENT EN DENTS DE SCIES

    Le confinement du printemps a signé un véritable coup d’arrêt pour les recettes publicitaires. L’été 2020 a permis de limiter les pertes grâce à une reprise plus forte des investissements publicitaires, suivi d’un nouveau coup d’arrêt, cette fois-ci plus léger, avec le confinement de l’automne.

    2. VARIATION DES IMPACTS SELON LES MÉDIAS

    Tous les médias n’ont pas été touchés par cette crise de la même façon.

    Sans grande surprise, le digital s’en sort mieux que les médias traditionnels, cependant, des inégalités au sein de ces médias digitaux ont été enregistrées. Le display, l’un des leaders avant la crise, a connu la plus forte décroissance. En revanche, le Social et le Search ont mieux résisté.

    Le cinéma, quant à lui, est le média ayant le plus souffert de cette crise, tandis que la télévision, bien que massivement regardée par les citoyens durant cette période, a enregistré une baisse de 11%.

    3. DES STRATÉGIES ADAPTÉES

    Pour supporter cette crise, les entreprises de secteur de la publicité ont dû adapter leurs stratégies.

    Plusieurs tendances ont été identifiées :

    • L’intensification des activités commerciales pour prospecter de nouveaux clients

    • La réorganisation des activités génératrices de valeur

    • Les ajustements du recours à la sous-traitance

    • Le recours aux dispositifs d’aide proposés par l’Etat (comme l’activité partielle et le Prêt Garanti par l’Etat (PGE) essentiellement)

    4. LES MÉTIERS DE LA PUBLICITÉ IMPACTÉS
    La mise à niveau des stratégies organisationnelles et managériales, liées au travail à distance et à la digitalisation des activités est devenue indispensable pour assurer la pérennité des entreprises.

    La recherche de certaines compétences est mise sur le devant la scène : l’expertise et la spécialisation se renforcent, les compétences digitales et managériales se développent, les softskills montent en puissance.

    Pour entrer plus dans les détails de ces tendances et découvrir les propositions d’actions opérationnelles, nous vous invitons à approfondir la lecture de cette étude.

    Rapport complet

    Rapport_26

     

    Synthèse

    Rapport_27

     

    Etude qualitative sur l’évolution du secteur de la Publicité et impacts de la transition digitale sur les métiers et compétences

    L’impact de la transition digitale sur les compétences dans la Publicité

    Comment appréhender les impacts de la transformation digitale sur nos métiers ? Quels sont les facteurs d’évolution? Quels sont les salariés et les métiers sensibles à soutenir en priorité ? Tels étaient les objectifs de l’étude commanditée par la CPNEF Publicité dans le cadre de l’Observatoire des métiers de la publicité.

    Périmètre de l’étude

    L’étude, conduite par BPI Group, s’est intéressée à trois grands secteurs :

    • agences conseil en communication (AACC)

    • agences médias (UDECAM)

    • médias et régies publicitaires (UNIREL, SPG, SNPTV, UPE)

     Un contexte économique en mutation

    Au sein du marché publicitaire, des transferts budgétaires s’opèrent depuis plusieurs années au profit des supports électroniques mobiles. En 2016, ont été particulièrement impactées les mailings postaux (- 4,1% des recettes), les annuaires (- 11 %) et la presse (- 6,6 %) tandis que les recettes ont progressé pour internet (+ 7 %), le cinéma (+ 8,9 %) et dans une moindre mesure la publicité extérieure (+ 3,1 %). Les agences de publicité et de communication (80 % des entreprises et 75 % des emplois) ont connu une baisse de 8,6 % des emplois salariés en 5 ans ; les régies publicitaires et les agences media, une baisse de 5,8 %.

    Les facteurs d’évolution

    • Environnement sociétal

    Hyperconnectivité, consommation multi-devices et multi-tasking se conjuguent avec une recherche de contenu de qualité et un rapport différencié aux supports print et di-gital. En parallèle, se développe une certaine défiance sociale vis-à-vis de la publicité, avec des phénomènes de boycott, des outils de type adblocker ou encore les mouvements anti-pub. Pour les agences, on note un renforcement de la dimension éthique dans la réglementation ; pour les régies, un renforcement des règles pour l’affichage extérieur.

    • Environnement clients / annonceurs

    Malgré une légère reprise du marché, les budgets de communication baissent globalement. Les logiques de ciblage affinitaire et intentionniste s’accentuent, s’ajoutant à la logique de ciblage sociodémographique. L’offre d’espaces s’élargit (nouvelles chaînes TV, sites, applications) et les annonceurs montrent une autonomie accrue dans leurs démarches (réseaux sociaux…).

     

    Les dynamiques à l’œuvre
    Le numérique redéfinit le paysage concurrentiel, les frontières deviennent de plus en plus poreuses, obligeant les acteurs à mettre en place des stratégies de positionnement. Les innovations sont centrées sur le digital et la diversification des services. En matière d’organisation du travail, le gain de productivité est primordial, avec un renforcement des modes de travail agiles. Les processus et les métiers se décloisonnent.

    Les enjeux RH
    En conséquence, les entreprises cherchent à recruter des profils correspondant aux métiers émergents (ex. : data analyst, data scientist…), à développer les compétences transverses et à renforcer l’employabilité des salariés. La branche a identifié trois thématiques de formation prioritaires qui seront soutenues par l’Afdas avec l’aide financière du FPSPP :

    • accompagner les salariés dans leur montée en compétences sur la dimension digitale, qui intervient désormais dans l’ensemble des processus de création, de production et de diffusion publicitaire

    • accompagner les salariés dans leur montée en compétences sur la dimension conseil / gestion de la relation client

    • accompagner les managers dans la conduite du changement et la transformation des métiers

     

    >>> Télécharger l'étude

    Rapport_22

     

    Cartographie des métiers de la publicité

    Les métiers de la Publicité

    La cartographie des métiers de la publicité décrit les 42 principaux métiers de la branche organisés en 7 familles de métiers et 4 secteurs d’activités.

    Lien site cartographie.

    Profession journaliste : un portrait statistique

    Qui sont les 35 000 journalistes détenteurs de la carte de presse professionnelle ?

    A partir des données issues de la commission de la carte d’identité des journalistes professionnels (CCIJP), l’Observatoire des métiers de la presse propose d’explorer toutes les facettes de la profession.

    Ils sont passés de 13 000 en 1975 à un peu moins de 35 000 aujourd’hui. Qui sont les journalistes détenteurs de la carte de presse professionnelle ? L’outil « Profession journaliste » a été mis à jour avec les données 2019 et offre un portrait statistique interactif, accessible à tous.

    Evolution au sein des différents secteurs de la Presse

    La presse écrite (papier et en ligne), reste le secteur dominant concernant les cartes de presse, mais sa part diminue chaque année : en 2019, elle pèse moins de 57% du total des cartes. Cela représente une baisse de 7,7 points depuis 2000. Cette chute se confirme avec les chiffres des premières demandes de carte : on observe une baisse des premières demandes de carte, de près de 14 points, en 19 ans dans ce secteur.

    Le secteur de la télévision, à l’inverse, est en nette progression sur la même période. On observe une hausse de 6.4 points depuis 2000. La radio séduit également : la part de ce média passant de 8% à 9,6% du total des cartes. Quant aux agences de presse, l’évolution du nombre de cartes de presse de ce secteur reste plutôt stable sur ces 19 dernières années (+0.2 pt).

    La féminisation se poursuit

    Si les femmes représentaient 40% des cartes en 2000, elles atteignent désormais 47,5% de ce total. Parmi les premières demandes de cartes, elles sont même majoritaires (53,5% en 2019), confirmant une tendance à l’œuvre depuis 2001. C’est dans les rédactions de presse écrite que cette présence féminine se constate le plus : 48,8% des effectifs. Dans les autres secteurs en revanche, elles ne représentent que 44% des effectifs en radio, 43,8% en télévision et 43,2% en agences de presse.

    La population des journalistes vieillit

    En 2019, l’âge moyen des journalistes détenteurs d’une carte de presse est de 44.8 ans. C’est 3,6 ans de plus qu’en 2000 où l’âge moyen s’établissait à 41,2 ans. L’âge moyen des personnes demandant la carte de presse pour la première fois est de 29.9 ans en 2019 (contre 30.7 ans il y a 19 ans). Du côté des renouvellements, l’écart se creuse : l’âge moyen augmente de 3,5 ans depuis 2000 (45,6 ans en moyenne en 2019).

    En 2019, c’est dans les secteurs de la télévision et des agences de presse qu’on observe les populations les plus jeunes, accédant pour la première fois à une carte de presse (28.8 ans).

    La précarisation se confirme

    En dix ans, la situation des premières demandes de carte s’est totalement inversée : en 2009, les CDI représentaient la moitié des contrats proposés aux primo-accédants à la carte de presse. Aujourd’hui, les journalistes faisant une première demande de carte de presse, sont majoritairement rémunérés à la pige, dans 48.4% des cas. Viennent ensuite les CDI avec 27,9% puis les CDD avec 23,1%.

    Les revenus fluctuent énormément selon les types de contrat

    Le revenu mensuel brut médian des journalistes en CDI est de 3614 € pour les CDI soit une hausse de 0.9% depuis 2000 ; il est de 1970 € pour les pigistes soit une baisse de 8% depuis 2000. Dans le même temps, le revenu médian des CDD a chuté, passant de 2486€ en 2000 à 1912€ aujourd’hui.

    Les journalistes femmes gagnent moins que leurs confrères masculins quel que soit le type de contrat. Les femmes en CDI perçoivent un revenu médian de 3 472 € tandis qu’il s’élève à 3 745 € pour les hommes.

    La part des cursus reconnus

    14 cursus sont aujourd’hui reconnus et ce chiffre est en hausse constante sur la période de 2000 à 2018 : de 12,2% des cartes, elle est passée à 19,9%.

    En CDI, les journalistes issus de cursus reconnus (en renouvellement de cartes) gagnent, en moyenne, 3 950 € contre 3 533 € pour des professionnels issus de cursus non reconnus. Par ailleurs, la part la plus importante de journalistes issus de cursus reconnus, se situe dans les secteurs de la télévision, de la radio et des agences de presse, avec une moyenne de 28%.

    Rendez-vous sur le site « Profession journaliste »

    Allez plus loin en explorant vous-mêmes la base de données des journalistes, mise à disposition par l’Observatoire des métiers de la presse à travers des dataviz interactives et téléchargeables.

    Réalisé à partir des données issues de la Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels (CCIJP), « Profession journaliste » permet de naviguer dans 19 années de données à travers une interface interactive simple et intuitive. Cet outil complet offre la possibilité de personnaliser chacun de ses graphiques et d’exporter les données qui y sont liées : évolution dans le temps, poids des cursus reconnus, comparaison entre secteurs, répartition par tranche d’âge ou par type de contrat…

    Accédez aux données.

    Journalistes : une insertion et un parcours professionnel de plus en plus difficiles

    Une étude sur l’insertion et les parcours des journalistes entrés dans la profession depuis 1998. 

    C’est une réelle plongée dans ce qui bouleverse l’écosystème des médias depuis une vingtaine d’années : mutations du métier secoué par la révolution numérique et la crise économique, précarisation rapide, emploi décorrélé des attentes professionnelles, part grandissante du web, augmentation des sorties de la profession…

    Chiffres et datavisualisations viennent illustrer les résultats de l’étude et dessiner un portrait-robot des diplômés en journalisme :

    • Un nombre de cartes de presse en baisse, particulièrement parmi les premières demandes : de 2 280 nouvelles cartes en 2000, leur nombre passe à 1 672 en 2015.

    • L’information communication se retrouve en tête des disciplines suivies par les nouveaux titulaires de la carte de presse dans leur cursus préjournalisme : 21% ont ce parcours parmi les diplômés en journalisme, 34,5% parmi les non diplômés en journalisme.

    • Près de la moitié des journalistes trouvent leur premier emploi après un stage ou des piges, 28% par le réseau de l’école.

    • Le web prend une place grandissante en début de carrière : c’est maintenant le troisième média parmi les diplômés en journalisme, après la presse et l’audiovisuel.

    • La précarité s’installe dès les 36 premiers mois de carrière dans le journalisme. 35,7% des diplômés en journalisme sont en CDD lors de leur première demande de carte.

    • On assiste à une augmentation des sorties de la profession : 40 % des nouveaux titulaires de la carte en 2008 sont sortis des fichiers de la CCIJP au bout de 7 ans. Pour la cohorte 1998, ils n’étaient que 28 % sur la même période.

    • La précarité, les conditions d’exercice de leur métier, un accès plus difficile à l’encadrement : autant de cause de sorties de la profession.

    L’étude est disponible sur le site de la CPNEF de l’Audiovisuel et l'observatoire des métiers de la presse.

    >>> Consultez l’étude.