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Contrat d’études prospectives - Branche Publicité

Comment évolueront les métiers de la Publicité demain ?

Qui sont les acteurs de la Publicité aujourd’hui ? Comment évolueront les métiers de la Publicité demain ? Quels sont les principaux facteurs déclencheurs des transformations des métiers ? Quels sont les métiers qui émergent ? Quelles sont les compétences à développer pour l’avenir ?

Des effectifs conséquents, mais en décroissance régulière

Le secteur de la publicité est particulièrement important dans l’économie française. La branche professionnelle de ce secteur compte ainsi près de 7 850 entreprises et 75 300 salariés (72 000 en équivalent temps plein) en 2017. Malgré son poids important en termes d’effectifs, la branche se caractérise par un recul de ces derniers.

Un monde de TPE dominé par quelques géants

Les entreprises de la branche se caractérisent par une forte prépondérance des petites structures. Les TPE représentent ainsi plus de 4 entreprises sur 5, et si l’on y ajoute les entreprises comptant entre 10 et 19 salariés, la part des PME est de plus de 90%. Les effectifs salariés se répartissent de manière relativement équilibrée au sein de ces entreprises, démontrant le poids très important que représentent les quelques entreprises de plus de 250 salariés que compte la branche.

Une branche géographiquement centralisée

L’activité de la branche est fortement centralisée en Île-de-France et plus particulièrement dans la région parisienne. Plus de 3 salariés sur 5 travaillent dans cette région.

La publicité de demain : digitale, interactive et responsable

Sans surprise, la publicité de demain sera digitale. L’ensemble des médias traditionnels ont déjà pris le chemin du numérique, avec un traçage de plus en plus marqué vers les applications mobiles. Avec cette digitalisation, et l’ère du social media, la publicité s’est personnalisée, et est devenue interactive. Les campagnes publicitaires sont personnalisées, et offrent des possibilités d’interaction infinies. De nouveaux modes de communication et d’échange, qui répondent tant aux exigences des consommateurs qu’aux objectifs d’ultra personnalisation des annonceurs.

L’autre facteur majeur de l’évolution du secteur, outre des exigences de consommation de plus en plus fortes, est l’attente d’une communication responsable, éthique, transparente et répondant à des normes et des règles précises : RSE, certification ISO, RGPD…. Les métiers du secteur doivent désormais adapter les outils afin de répondre aux exigences d’un public en attente d’une communication plus raisonnée, à tous niveaux.

 

Rapport Complet

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Synthèse

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Infographie

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Portrait statistique de la branche du golf

Un rapport de branche sur l’emploi et les métiers d’un secteur regroupant 5 200 salariés et 523 établissements sur tout le territoire.

Cette étude, réalisée par la CPNEF du golf et l’Afdas, initiée avec l’expertise technique d’Uniformation, fournit une base de connaissances actualisée du secteur permettant ainsi d’orienter la branche professionnelle dans ses futures décisions.

Une branche composée d’une majorité de petites structures dans laquelle coexistent secteurs associatif et commercial :

La branche comptabilise 523 établissements pour lesquels 98% comptent moins de 50 salariés, et 70 % moins de 11 salariés. La gestion des structures est majoritairement commerciale (65%) tandis qu’un peu plus d’un quart est associative (27%).

Des emplois accessibles à tous les niveaux de qualification, stables et à temps complet. 

Les CDI sont dominants dans le secteur (83%), de même que le temps plein (83%). Le recours au CDD vient compléter les effectifs lors des hausses d’activité saisonnières, surtout l’été.

Le terrain au cœur des métiers de la branche :

Les professionnels de terrain, tels que les jardiniers, mécaniciens, fontainiers, intendants de terrain (39%), et de l’accueil-vente (21%) représentent les catégories de personnel les plus nombreuses au sein des établissements.

Un recours à l’alternance pour pallier les difficultés de recrutement identifiées pour certains métiers :

Les difficultés concernent surtout les métiers de terrain (49%), de l’accueil-vente (40%) et de la restauration (39%). Pourtant, la grande majorité des diplômes concernés par ces métiers en tension de recrutement sont accessibles via une formation en alternance. D’ailleurs, 40% des structures prévoient de recourir à l’alternance, notamment pour les métiers du terrain et de l’accueil.

 

Infographie A4- Branche professionnelle du Golf

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Synthèse du rapport de la branche professionnelle du golf

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Rapport de branche professionnelle de la branche du golf

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Rapport emploi-formation ELAC 2019

Les espaces de loisirs et culturels : un secteur saisonnier et dynamique marqué par une grande diversité des métiers.

Un secteur dynamique

La branche des ELAC se compose de 3 100 établissements employeurs :

  • 29% sont les parcs d’attractions et parcs à thème et regroupent 55% des salariés
  • 58% sont les activités récréatives et de loisirs employant 20% des salariés
  • 10% sont les activités culturelles (gestion des sites et monument historiques, gestion des musées) et regroupent 10% des salariés

La branche emploie près de 50 000 salariés en emploi principal auxquels s’ajoutent 30 000 en emploi saisonnier. Près de 13 000 employés sont des étudiants et 3 400 des intermittents du spectacle.

Une diversité des métiers

La branche des métiers du divertissement se singularise par une grande diversité des métiers exercés repartis en onze familles. Parmi elles :

  • 23% dans les jeux, attractions et spectacles
  • 22% travaillent pour l’accueil et la relation visiteurs
  • 22% dans la restauration, hôtellerie et boutique
  • 17% dans le support technique, les espaces verts, les métiers animaliers et la sécurité
  • 12% dans les fonctions administratives et de direction.
  • 4% dans le marketing, la communication et le développement

Dans les petites structures, les effectifs se concentrent essentiellement sur les métiers de l’accueil, des jeux et attractions. Sept salariés sur dix cumulent plusieurs fonctions.

Une branche paritaire et jeune

Les métiers des ELAC emploient 47% de femmes et 53% d’hommes, soit une quasi-parité. Ce pourcentage féminin est similaire à celui de l’ensemble des activités tertiaires. Elles exercent majoritairement dans les filières administratives, commerciales et relations visiteurs. En revanche, elles sont moins représentées dans les fonctions d’encadrement avec seulement 40% de femmes, soit l’équivalent de la moyenne nationale.

Plus de 50% des salariés de la branche ont moins de 30 ans. Ils représentent 75% des emplois saisonniers.

L’expérience saisonnière est souvent valorisée et joue le rôle de premier tremplin vers la vie professionnelle pour les jeunes.

Des opportunités d’emploi pour tous

Les métiers opérationnels sont particulièrement accessibles avec de moindres conditions d’expériences et de diplômes. Ils permettent l’insertion professionnelle de profils variés et majoritairement jeunes.

Une première expérience en saison au sein des entreprises de la branche constitue un véritable tremplin dans le parcours professionnel. 7 saisonniers sur 10 reviennent d’une année sur l’autre en CDD, et un quart des saisonniers se voient proposer un CDI à la fin de leur contrat.

Des possibilités d’évolution professionnelle

Les entreprises de la branche œuvrent pour fidéliser, développer et assurer l’évolution des salariés et cela passe par la formation, l’évolution professionnelle et la pérennisation des postes lorsque cela devient possible.

  • Près de 30% des structures ont mis en place une action de formation. 23% des salariés ont bénéficié en 2017 d’une formation financée par l’Afdas.
  • 42% des salariés ont connu une évolution professionnelle au cours de leur carrière, dont 16% ont connu un changement de classification.
  • La part des salariés précédemment employés par leur structure actuelle est de 71% pour les CDD et 41% pour les CDI.

Un secteur innovant

Les Espaces de Loisirs, d'Attractions et Culturels sont présents sur l'ensemble du territoire et contribuent largement à l'économie locale. Cependant le secteur est principalement constitué de TPE :

  • 90% des structures ont moins de 11 salariés et réalisent un chiffre d’affaires entre 100 000 et 500 000 euros
  • 10% sont des grandes structures et réalisent 30% du chiffre d’affaires du secteur tout en rassemblant 37% des effectifs

Pour garantir la pérennité du modèle, les entreprises du divertissement investissent chaque année pour répondre aux attentes des visiteurs et garantir leur sécurité, gérer la saisonnalité et la dépendance à la météo. Le développement de l’activité groupes, entreprises et scolaires, et de l’hôtellerie permet d’accroître l’activité hors-saison.

Infographie A4- Branche des Espaces de loisirs, d’attractions et culturels

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Synthèse du rapport emploi-formation

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Le rapport emploi-formation

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Enquête emploi formation ELAC 2016

Les caractéristiques des entreprises et leurs pratiques en matière d’emploi, de gestion des compétences et des parcours professionnels, et de formation.

En 2014, la branche compte 2168 entreprises adhérentes cotisant à l’AFDAS soit une diminution de 7% entre 2010 et 2014. 

Les TPE (entreprises de moins de 10 salariés) représentent en 2014, 91% des entreprises.

Un volume d’entreprises concentré dans 3 régions :

  • Ile-de-France,
  • Auvergne, Rhône-Alpes
  • Languedoc-Roussillon

Les entreprises de la branche comptabilisent en 2014 un effectif de 27 615 salariés, soit une diminution de 2,2 % par rapport à 2010. 53% d’entre eux travaillent dans des entreprises de 300 salariés et plus.  Les salariés en ETP sont concentrés en 2014 pour 65% dans des entreprises relevant des parcs d’attractions et à thèmes et 13% dans les autres activités de loisirs.

Rapport complet

 

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Synthèse

 

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Etude d’opportunité sur la création d’une certification en gestion des armes

Alertée par des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel sur des dysfonctionnements dans la gestion et le maniement des armes en sécurité sur les tournages, la CPNEF de l’audiovisuel à souhaiter étudier l’opportunité de créer une certification appropriée pour la gestion des armes sur les plateaux.

Fruit de recherches documentaires, de plus de 20 entretiens qualitatifs auprès d’intervenants (accessoiristes, directeurs de production, comédien, cascadeur, loueur d’armes, formateur), et d’une présentation des deux métiers les plus impliqués (armuriers et accessoiristes), l’étude offre une vision des règlementations existantes, des pratiques et des représentations de la gestion des armes sur un plateau.

La CPNEF de l’audiovisuel en s’appuyant sur les conclusions de l’étude n’envisage pas la création d’une certification spécifique. L’élaboration d’un guide de la règlementation et de bonnes pratiques semble être une réponse plus appropriée. Il est nécessaire que l’ensemble des intervenants s’empare des réglementations et consignes de sécurité liées aux armes sur les tournages. 

Un guide de bonnes pratiques est en cours et devra être une publication concertée entre la CPNEF SV, les syndicats salariés et fédérations employeurs, le CCSHCT cinéma et le CCSCHCT audiovisuel, les associations professionnelles concernées comme ADP, AFAP, etc. ainsi que le CNC, FilmFrance, le Ministère de la culture et de la communication, etc.

Il s’agira pour la CPNEF de coordonner ce futur guide et d’en assurer la diffusion la plus large possible à travers différentes initiatives à définir (journée d’information, création d’un MOOC, etc.)

 

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Evolution des métiers de l’exploitation cinéma et de la distribution de films

La distribution de films et l’exploitation cinématographique sont confrontées à un changement de modèle économique, lié au développement des technologies numériques. Cette étude analyse l’évolution des métiers.

Les branches de la distribution de films et de l’exploitation cinématographique sont confrontées depuis quelques années à de nombreuses mutations. Si l'évolution majeure tient au développement des technologies numériques, et en particulier à la dématérialisation du support de projection, celle-ci ne doit pas être l'arbre qui cache la forêt. De manière plus subtile, ces deux secteurs professionnels font face à un changement de modèle économique, dans lequel la concurrence de nouveaux canaux de distribution (Internet et les diverses possibilités de téléchargement) et de visionnage (le « home cinéma ») rend obligatoire la réflexion autour du service rendu au client.

Le succès de certains films en 3D a fini de rendre impératif, même pour les plus réticents, l'équipement des salles en numérique, avec un plan de déploiement d'aides publiques pour les plus petites exploitations. Les relations économiques entre distributeurs et exploitants s'en trouvent profondément modifiées, et de nouveaux métiers, liés au déploiement de ces équipements et à la collecte des contributions dues par les distributeurs, apparaissent.

Au-delà de ces évolutions techniques, économiques, juridiques, commerciales etc. se pose, pour chacun des acteurs, la question du modèle de qualité de service qui garantira à la fois l'équilibre économique et la satisfaction de la clientèle, source de fidélisation.

Cette question ne rencontre pas de réponse univoque, et chaque entreprise la règle à sa manière. Pour certains, l'accent sera mis sur la diversification de l'offre, dans un cadre facile d'accès (la présence de parkings), et proposant une prestation dépassant le temps de la projection (espaces de jeux ou de restauration, vente de supports culturels…). Pour d'autres, l'avantage concurrentiel reposera sur l'originalité d'une programmation qui fera la part belle aux échanges avec les spectateurs, et parfois les équipes des films.

Rapport complet

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Rapport synthétique

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Evolution des métiers dans le secteur de l’édition

Ce rapport fait le point sur les évolutions récentes des métiers (chaine éditoriale, promotion, commercial) liées notamment à l’apparition de nouveaux moyens de publications et l’incursion de nouveaux acteurs.

Dans le cadre de l’observatoire des métiers de l’Edition, les membres paritaires de la CPNE ont souhaité :

  • réaliser une étude sur l’évolution des métiers de l’Édition,

  • mener une étude complémentaire sur les formations métiers du secteur.

Le SNE, les organisations syndicales signataires de l’accord et l’OPCA CGM ont de nouveau fait appel au cabinet de conseil, Aon Hewitt, pour les aider à mener à bien ces deux missions.

L’étude présente les évolutions récentes et anticipées par les entreprises de trente-deux fonctions spécifiques et usuelles du secteur de l’Edition et s’appuie sur les fonctions repères de la Convention Collective Nationale de l’Edition. Pour chaque fonction repère a été défini un référentiel de compétences.

Les entreprises ont également été interrogées sur les évolutions récentes du secteur de l’Edition ayant eu un impact sur ces métiers (notamment sur l’apparition de nouveaux moyens de publications et sur l’incursion de nouveaux acteurs).

Enfin, il a été demandé aux entreprises d'identifier les formations initiales d'appartenance de leurs effectifs "Jeunes Diplômés", recrutés depuis moins de trois ans, et d’évaluer leur bon niveau d’adéquation aux évolutions du secteur.

Rapport complet

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Synthèse

 

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Enquête emploi formation ELAC 2010

Ce rapport s’appuie sur une enquête menée auprès des entreprises du secteur par la société Amnyos avec l'Afdas. Parmi les bénéficiaires des différents dispositifs de formation, les employés et techniciens sont les plus représentés. Du côté des entreprises, celles qui comptent plus de 100 salariés sont celles qui engagent le plus d’actions de formation.

 

Contrat d’études prospectives pour la branche professionnelle de l’édition phonographique

Ce rapport présente une photographie statistique ainsi qu’un diagnostic qualitatif de la situation économique du secteur, soumis à de lourdes mutations. Sous un angle prospectif, il analyse les impacts de ces phénomènes sur les emplois et la gestion des ressources humaines.

Deux raisons principales motivent la branche de l’Édition phonographique et l’État dans le lancement de ce contrat d’étude prospective :

Première raison : le secteur subit des mutations lourdes, pour ne pas dire une crise profonde. De nombreux facteurs actuels ou potentiels ont des impacts sur le secteur ; citons en quelques-uns à titre illustratif, sans prétendre à leur exhaustivité et à leur exactitude à ce stade :

  • Une transformation profonde des modes de diffusion

  • En parallèle, l’impact considérable des téléchargements illégaux, enjeu majeur du secteur, sur lequel la profession et les Pouvoirs publics tentent de trouver des réponses.

  • Une évolution en conséquence des pratiques sociétales de consommation qui se transforment

  • Peut-être certaines formes de concurrence ou de partenariats avec les labels

  • Des possibilités d’évolutions fiscales pouvant avoir des impacts positifs sur le secteur.

  • En réaction à ces facteurs exogènes, les évolutions de la stratégie des entreprises du secteur ; citons par exemple les diversifications ou des centrages.

Sachant que d’autres repositionnements produits/marché sont en cours d’analyse et de mise en œuvre chez les majors et les indépendants.

  • Une transformation structurelle du secteur lui-même, qui peut prendre des formes très différentes

Les impacts de ces mutations sur l’emploi sont majeurs et globalement défavorables

  • Les impacts quantitatifs sur les effectifs risquent d’être encore importants

  • Qualitativement, ces facteurs conduisent au déclin de certains métiers (logistique de distribution, personnels en relation avec les commercialisateurs, suivi des sous-traitants du pressage et de l’impression, etc.) mais aussi à la nécessaire émergence de nouvelles compétences au sein des entreprises, par exemple la communication, l’export, la gestion de carrière des artistes, la gestion rigoureuse au sein des petits labels, dont la recherche de financement, etc.

Les entreprises et les professionnels de la branche ont ainsi un besoin important de soutien, pour les accompagner dans les mutations en cours et les aider à se préparer aux nouvelles évolutions à venir d’où l’intérêt de ce contrat d’étude prospective, destiné à repérer toutes ces évolutions afin d’aider les partenaires sociaux et l’État à définir les politiques d’emploi et de formation prospectives et adaptées.

Deuxième raison : le secteur vient de se structurer en branche et souhaite engager une véritable dynamique collective autour de la problématique de l’emploi et de la formation

Trois instances de créations récentes doivent être alimentées en informations :

  • Pour mémoire, la Commission CCN, qui devra notamment faire vivre dans le temps les trois annexes de la CCN (classifications métiers à faire évoluer) ;

  • La CPNEF, qui doit pouvoir disposer de toutes les informations pour définir ses politiques d’emploi et de formation ;

  • L’Observatoire de la branche, dont le CEP pourrait être l’étude fondatrice.

Ainsi ce CEP poursuit un double objectif :

  • Certes le recueil des informations les plus fiables et les plus prospectives, par le prestataire, auprès des entreprises et des partenaires ;

  • Mais aussi, comme c’est le cas dans tous les CEP mais avec une importance particulièrement renforcée ici, engager une véritable dynamique partenariale, paritaire et tripartite, riche et constructive, qui aura d’abord à se prononcer sur le diagnostic partagé, sur les scénarios d’évolution, sur les recommandations et enfin et surtout sur leur mise en œuvre dans les années à venir.

 

Rapport à télécharger

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